Un film brut et visuellement captivant qui plonge dans le rêve captivant de vivre une existence solitaire dans la nature. Le récit se déploie à travers des personnages fascinants, offrant une exploration profonde de la relation complexe entre l'humanité et la nature. Il dépeint avec art l'équilibre délicat entre la quête incessante de la survie et l'aspiration profonde au bonheur et à la connexion dans un monde dur et impitoyable. Avec en toile de fond des paysages à couper le souffle, le film aborde les défis internes et externes auxquels sont confrontés ceux qui osent embrasser la solitude et l'indépendance. Grâce à une narration évocatrice, « Nostromo » invite les spectateurs à réfléchir sur le désir humain profond de trouver un sens, un but et une communion dans la beauté brute et la majesté indomptée du monde naturel.
« Venu de France, Olivier vit, tel Robinson, sur une île que lui prêtent les Amérindiens, à 200 km de Yellowknife, unique ville des Territoires du Nord-Ouest canadien. Trois visiteurs troublent cette solitude, rejouant, devant la caméra de Fisnik Maxville, le « drame » du premier contact, où affleure une méfiance mutuelle historiquement constituée. » (synopsis de Visions du réel)
Un film brut et visuellement captivant qui plonge dans le rêve captivant de vivre une existence solitaire dans la nature. Le récit se déploie à travers des personnages fascinants, offrant une exploration profonde de la relation complexe entre l'humanité et la nature. Il dépeint avec art l'équilibre délicat entre la quête incessante de la survie et l'aspiration profonde au bonheur et à la connexion dans un monde dur et impitoyable. Avec en toile de fond des paysages à couper le souffle, le film aborde les défis internes et externes auxquels sont confrontés ceux qui osent embrasser la solitude et l'indépendance. Grâce à une narration évocatrice, « Nostromo » invite les spectateurs à réfléchir sur le désir humain profond de trouver un sens, un but et une communion dans la beauté brute et la majesté indomptée du monde naturel.
« Venu de France, Olivier vit, tel Robinson, sur une île que lui prêtent les Amérindiens, à 200 km de Yellowknife, unique ville des Territoires du Nord-Ouest canadien. Trois visiteurs troublent cette solitude, rejouant, devant la caméra de Fisnik Maxville, le « drame » du premier contact, où affleure une méfiance mutuelle historiquement constituée. » (synopsis de Visions du réel)